Вариант 1
1. Поставьте глаголы, данные в скобках, в Présent dans le passé. Переведите предложения
1. Nous avons demandé aux garçons qui ils (être) et où ils (aller). 2. Minna a dit à Christophe qu’elle ne (vouloir) pas jouer les exercices difficiles. 3. Le capitaine Némo déclara au professeur qu’il (devoir) rester enfermé dans la cabine jusqu’au moment où il pourrait lui rendre la liberté. 4. Elle a ajouté que je (pouvoir) garder ce livre tant que je voudrais. 5. Il nous a dit que Pierre le (aider). 6. Michel a dit qu’il (penser) que tout irait bien. 7. J’étais sûr qu’elle ne me (dire) la vérité.
2. Поставьте глаголы, данные в скобках, в соответствующих временах. Переведите предложения
1. Mon ami m’a dit qu’il ne (pouvoir) pas aller demain au théâtre parce qu’il (être) occupé. 2. Ils nous ont écrit qu’ils (faire) leurs études à l’institut de médecine et qu’ils (venir) à Moscou pendant les vacances. 3. Je ne savais pas que mon camarade (être) malade. 4. Elle m’a écrit que son père lui (acheter) une montre. 5. Pierre nous a dit qu’il (voir) déjà cette pièce, mais qu’il (aller) la voir avec plaisir encore une fois. 6. Nous pensions que vous (recevoir) déjà sa lettre.
3. Переведите текст письменно
LE MIRACLE DE L’IMPRIMERIE
caractèrem mobile – рассыпной шрифт
graver – гравировать
antimoinem – сурьма
bismithm – висмут
orfèvrem – золотых и серебряных дел мастер
fonderief – литейная мастерская
Venise – Венеция
poinçonm – шило, пунсон
typem – литература, тип, модель
librairem – книготорговец
prixm de revient – себестоимость
s’implanter – внедряться
remplir son objet – выполнять свой долг
Quand l’homme avait inventé l’écriture, le besoin a apparu de la reproduire pour la transmettre ou simplement pour la garder. Dans l’antiquité plusieurs catégories d’ouvriers se servaient de caractères alphabétiques, gravés à l’extrémité de petites tiges de métal. Les Romains faisaient usage des lettres mobiles pour apprendre à lire aux
enfants. La Chine connaissait vers le milieu du XI siècle, l’usage des caractères mobiles. En Europe, cette découverte ne se fit pas en un jour. C’est seulement dans la première moitié du XVe siècle qu’on a conçu l’idée de graver séparément chaque lettre de l’alphabet. En Russie la technique polygraphique apparut au milieu du XVI siècle. Elle est liée au nom d’Ivan Fedorov.
En 1513 le roi de France proclama la découverte de l’imprimerie sans nommer Gutenberg qui en 1448 avait ouvert à Mayence une première imprimerie dans le monde. C’était une véritable révolution dans l’industrie du livre. Gutenberg inventa un instrument pratique pour la fonte des caractères et son procédé devint réelement utilisable. Il donna une combinaison de caractères mobiles en métal fait d’un alliage de plomb, d’antimoine et de bismith. Mais sa vie était trop difficile et il ne pouvait pas tirer profit de son invention.
En 1458 Charles VIII envoie à Mayence (ville natale de Gutenberg, berceau de l’art typographique) Nicolas Jeanson, orfèvre parisien ; avec mission d’en ramener assez de renseignements pour créer en France une fonderie de caractères et quelques presses à bras. Mais Jeanson, s’estimant mal payé pour un travail délicat et non dépourvu de risque, préféra instruit des méthodes de Gutenberg s’installer à son propre compte à Venise où il fabriqua les caractères latines.
L’un des premiers qui gravait des poinçons et fondait des caractères en France était Josse Bade. Il s’installa à Paris dans les premières années du XVIe siècle et imprimait pendant trente ans avec des types ronds et parfaits. Le nombre des libraires – imprimeurs s’accroît au début du XVIe siècle. La plupart sont également graveurs et fondeurs. Pour remplir son objet l’art typographique comporte deux parties nécessaires: les Types et la Presse. De ces deux parties la plus essentielle sans doute est la création des Types; et pour exister, celle-ci exige deux arts: la gravure des Poinçons et la fonte des Caractères.
Vers 1480 c’est l’Italie qui produit le plus d’ouvrages, plus que la France, l’Espagne, les Pays-Bas, la Hongrie, la Pologne, l’Angleterre et l’Allemagne. Ce qui n’empêchait point l’Italie de continuer à produire des copies de manuscrits. Etant donnée la différence de prix de revient entre l’ouvrage transcrit à la main et l’ouvrage imprimé le commerce des premiers redevient un commerce de luxe.
Dans un laps de temps très court le livre imprimé s’implante et beaucoup des anciens calligraphes et miniaturistes se transforment en imprimeurs éditeurs ou en graveurs sur bois.
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